Journal d'agriculture pratique . com-primée. Avec la ligure 128, nous reproduisons ceque disait M. Ringelmann, dans son rapportsur les machines au concours général {Jow-nal dagriculture pratique, n 14 du 7 avril1904, page 432): « Une petite réceptricecommande par engrenages un palan à chaînecalibrée ; ce petit modèle est capable déleverles fardeaux de 250 kilogr. à une vitesse de0,21 par seconde, en nécessitant un cou-rant de 8 ampères sous 110 volts ; le commu-tateur est actionné à dislance à laide dedeux cordes ». Ajoutons les renseignements suivants: lesengrenages de la machine sont tailles


Journal d'agriculture pratique . com-primée. Avec la ligure 128, nous reproduisons ceque disait M. Ringelmann, dans son rapportsur les machines au concours général {Jow-nal dagriculture pratique, n 14 du 7 avril1904, page 432): « Une petite réceptricecommande par engrenages un palan à chaînecalibrée ; ce petit modèle est capable déleverles fardeaux de 250 kilogr. à une vitesse de0,21 par seconde, en nécessitant un cou-rant de 8 ampères sous 110 volts ; le commu-tateur est actionné à dislance à laide dedeux cordes ». Ajoutons les renseignements suivants: lesengrenages de la machine sont tailles; lachaîne calibrée est pourvue crochet àchaque extrémité afin quil ny ait pas dedescente à vide; un mécanisme à friction,appelé limitateur deffort, permet lindépen-dance de la dynamo lorsque le poids à sou-lever est trop élevé; deux freins à friction etsans cliquets, soustraits à laction de la force centrifuge, tiennent le fardeau à larrêt à lamontée aussi bien quà la descente et quelle. que soit la position de la charge sur lun^ou•lautre brin de la chaîne; quand la charge est LA MOUCHE DE LOLIVIERpar un obstacle, soit à la fin de la course de la chaîne, le moteur continue àtourner, le fardeau restant en place, prêt àreprendre automatiquement sa marche dèsque lobstacle a disparu. Un petit modèle, dit monte-sac, élève unecharge de 1-23 kilogr. à la vitesse de 2G mètrespar minute; il est surtout destiné aux maga-sins, entrepôts, docks, moulins et De BOIS. LA MOUCHE DE LOLIVIER La nioiiclii de lolivier {Dacus ole;r), appe-lée l^.ili niiiit Lriroun, est incontestablement,apir> la /iiiiiiijnte, le parasite le plus redou-table des oliveraies. Chaque année, la mouche cause des dégâtsconsidérables, quand elle nanéantit pas tota-lement la récolte. Cest une petite mouche de O^. de lon-gueur ; son corps est dun gris jaunâtre, sesyeux sont noirs et labdomen est de couleurrousse avec taches noires. Le keï


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