Nouvelle histoire de Lyon et des provinces de Lyonnais, Forez, Beaujolais, Franc-Lyonnais et Dombes . 600. — CHALAMONT même G Anse, Daprès Neuvéfflise (cf. p. 57i, fîg. 600). Olli IDDUte- °n a Sl Chalamont clcux notices ; lune de M. Valentin-Smith,1 Revue du Lyonnais, novembre 1847; lautre, de M. Pierre Ber- nant à lEglise lt?t Kecuel historique de et les communes de soncanton (Lyon, 1890, in-8, blason et carie). de Lyon, ne devaitpas sattendre à cette attaque. Il passa ensuite en Dombes,pritde même Beauregard, alla piller Lent et Chalamont, mais sanspouvoir prendre leurs châteaux.


Nouvelle histoire de Lyon et des provinces de Lyonnais, Forez, Beaujolais, Franc-Lyonnais et Dombes . 600. — CHALAMONT même G Anse, Daprès Neuvéfflise (cf. p. 57i, fîg. 600). Olli IDDUte- °n a Sl Chalamont clcux notices ; lune de M. Valentin-Smith,1 Revue du Lyonnais, novembre 1847; lautre, de M. Pierre Ber- nant à lEglise lt?t Kecuel historique de et les communes de soncanton (Lyon, 1890, in-8, blason et carie). de Lyon, ne devaitpas sattendre à cette attaque. Il passa ensuite en Dombes,pritde même Beauregard, alla piller Lent et Chalamont, mais sanspouvoir prendre leurs châteaux. Ces succès obtenus déloyalementsarrêtèrent là. Le vieux duc Louis II rassembla à Yillefrancheun corps formidable de 4000 hommes darmes qui, du reste,neurent pas à combattre ; lavant-garde commandée par un illustreForézien, Jean de Châteaumorand (fig. 610), suffit pour repousserles Savoyards, et, à leur tour, nos troupes franchirent la frontièrepour exercer des représailles sur le territoire ennemi, et poussè-rent leur marche victorieuse jusquà Ambérieu et Ambronay en. LA DEFENSE NATIONALE 58 I Bugey. De son côté, Jean sans Peur savançait à la tête dunearmée, dans lintention mal dissimulée de soutenir Amé de guerre civile allait éclater sans la prudence et la modérationdu bon duc Louis. Il feignit de ne pas voir les mouvements hos-tiles du duc de Bourgogne, et aussi de croireque le chevalier savoyard avait agi de lui-même à linsu de son maître, le comte de Sa-voie. Il exigea seulement quil lui fût livré et,après une sévère remontrance qui allait indirec-tement jusquà ceux qui lavaient poussé, il lerenvoya sans autre punition. En même temps,la question de lhommage fut résolue par unecombinaison qui sauvegardait lamour-propre Jean de Châteaumorand, né en i353,mort en 1439, a été lun des hommesles plus remarquables de son temps;il était néanmoins demeuré à peuprès méconnu, lorsquil a été révélé,pour ainsi dire


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