Velazquez . nce de la race en ce siècle ; cest ainsi (|ue ce peintre, loindêtre un protégé du roi, est le protecteur de ce même roi, de sa couret de la société contemporaine tout entière ». Cette nouvelle cliarge de grand nuiiéclnd, (pie Velaz(piez allaitremplir pendant les huit dernières années de sa vie, était assez gras-sement rétribuée. I,es appointements sélevaient à plus de francspar an et Vap()seni(i(li>i\ de |)lus, avait droit au logement dans lamaison du trésor, annexe de laile sud de lAlcazar. (e fut là désor-nuiis la résidence de Vclaz(|uez, (jui, jusque-là, avait habité ru
Velazquez . nce de la race en ce siècle ; cest ainsi (|ue ce peintre, loindêtre un protégé du roi, est le protecteur de ce même roi, de sa couret de la société contemporaine tout entière ». Cette nouvelle cliarge de grand nuiiéclnd, (pie Velaz(piez allaitremplir pendant les huit dernières années de sa vie, était assez gras-sement rétribuée. I,es appointements sélevaient à plus de francspar an et Vap()seni(i(li>i\ de |)lus, avait droit au logement dans lamaison du trésor, annexe de laile sud de lAlcazar. (e fut là désor-nuiis la résidence de Vclaz(|uez, (jui, jusque-là, avait habité rue de la VELAZQUEZ i4:î Coiicepcion-(jeroiiii)ia, dans le |)àté de inaisiMis de Ilita. En retour diSappointements et de rayaucement oljtenus, voici quelles étaient lesoljligalions de ^elazfplez : il avait à soccuper de tout ce qui étaitrelatif à laniénag-enient intérieur des résidences roy ales, à organiserles unnd)reux déplacements de la cour, à |)ourvoir au logement de la. La ii]: ;M, DALrniciir, {.Miisik di Viiriiif.) suite (lu roi, à prendre soin de la décoration et de lameubloment despalais ainsi que de tout ce qui sensuivait, à ordonner toutes lesréjouissances, sans conqiter racconqiagneuient obligé dimpertinenceset dennuis quentraînaient ces multiples occn]Kitions. ^ elazquez ne put exécuter quà son retour dItalie, cii iG)i, leportrait de la reine Marianne dAutriche. Cotte princesse avait épouséPhilip[)e iV à Navalearnero en i6k), pendant labsence du , désireux, comme il était naturel, de posséder une effigie de i44 VRLAZQUEZ sa jeune femme et voyant (|uo le retour de sou peintre favori étaitretardé outre mesure, commanda au gendre du maître, Mazo, lepremier portrait de la reine. Après ee jiortrait vint celui de \ elazquez ;cest, à nen pas doutei, limage à uii-corps du musée de \ ienne(n° fiij), dont létude préliminaire existe au J^ouvre. I^es cataloguesde ces deux musées supposent f
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