Nouveau Larousse illustré : dictionnaire universel encyclopédique . eulent rentrer de létat du courantet des dangers quils peuvent courir. On hisse aussi unpavillon au flot, aussitôt que le chenal a 2 mètres deau;on lamène au jusant, aussitôt que le niveau est inférieur à2 mètres. Une flamme supérieure au pavillon indique leflot ; une flamme inférieure à un pavillon indique le pavillon rouge en tête de mât annonce que le port estconaamné. La nuit, des feux remplacent les pavillons, eton signale que lentrée du port est interdite au moyende deux feux rouges superposés. V. mer. MARÉGRAP
Nouveau Larousse illustré : dictionnaire universel encyclopédique . eulent rentrer de létat du courantet des dangers quils peuvent courir. On hisse aussi unpavillon au flot, aussitôt que le chenal a 2 mètres deau;on lamène au jusant, aussitôt que le niveau est inférieur à2 mètres. Une flamme supérieure au pavillon indique leflot ; une flamme inférieure à un pavillon indique le pavillon rouge en tête de mât annonce que le port estconaamné. La nuit, des feux remplacent les pavillons, eton signale que lentrée du port est interdite au moyende deux feux rouges superposés. V. mer. MARÉGRAPHE (de marée, et du gr. grapheïn, décrire)n. m. Instrument enregistrant automatiquement les mou-vements de fluxet de reflux de lamer. h On appelle enc cet strument marko- GRAPHE, MARÉO-MÈTRE, PDITS DEMARÉE. — à léchel-le de marée étantrendues très dif-ficiles à causedes mouvementsincessants de lamer et du clapo-tis qui en résulte,on remplaça lé-chelle par unpuits communi-quant avec lamer. Un flottivement àse d. Marégiaphe à cylindre horizontal. placé dans ce puits transmet son mou-stylet, qui trace une courbe sur une feuillelaot proportionnellement aux temps. Les courbesobtenues permettent de déterminer les éléments des ma-rées et de faire les calculs nécessaires à létabUssementdes tables. MARÈGUE {règh) n. f. Gros tissu de laine, dont on faitdes limousines pour les charretiers. MARÉKANITE OU MARÉCANITE n. f. Variété de pétro-silex. MARELLE irèV — autref. mérelle, forme fém. do mê-REAU) n. f. Jeu denfants, n Figure tracée pour ce jeu. — Encycl. Il V a deux sortes de jeux de marelles : lunjeu de calcul (là marelle assise), et lautre jeu dadresse,que lon appelle marelle à cloche-pied. Marelle à cloche-pied. On trace sur le sol une figurodans le genre de celles que nous représentons, mais dontla composition des cases varie au gré des joueurs. Chaque
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