. Collection des Goncourt; dessins, aquarelles et pastels du 18e siècle. courtes, fichu sur les épaules. Dessin sur papier jaunâtre, au crayon noir, rehaussé de craie. Vente Villot. (H., — L.,0,18.) (TD , — 24 CHASSELAT44. — Femme assise sur un fauteuil. 5 V De face, un pied dont la pointe est relevée, posé sur un coussin. Coiffure dans laquelle est piquée une rose,ample fichu, rose au corsage à échelle. Dessin sur papier jaunâtre, au crayon noir rehaussé de craie. Vente Villot. (H., o,3o. — L., 0,20.) COCHIN (CHARLES-NICOLAS) « Lalerte crayonneur, dans une silhouette à la Guardi, du pet


. Collection des Goncourt; dessins, aquarelles et pastels du 18e siècle. courtes, fichu sur les épaules. Dessin sur papier jaunâtre, au crayon noir, rehaussé de craie. Vente Villot. (H., — L.,0,18.) (TD , — 24 CHASSELAT44. — Femme assise sur un fauteuil. 5 V De face, un pied dont la pointe est relevée, posé sur un coussin. Coiffure dans laquelle est piquée une rose,ample fichu, rose au corsage à échelle. Dessin sur papier jaunâtre, au crayon noir rehaussé de craie. Vente Villot. (H., o,3o. — L., 0,20.) COCHIN (CHARLES-NICOLAS) « Lalerte crayonneur, dans une silhouette à la Guardi, du petit« gentilhomme cambré, de la petite femme à la jupe ballonnante dalors,« et auxquels il fait une physionomie avec quatre points dencre. » (Ed. de Goncouut.) 4^. — Portrait de Fenouilloi de Falbaire. LÇij Il est représenté dans un petit cadre octogone, surmontédun rameau de chêne. Dessin à la pierre noiie. Signé au-dessous de la tablette : C. A^. Cocliin dclin.^ ^7^7-Gravé par Augustin de Saint-Aubin. (H., 0,14. — L., 0,09.) COCHIN. Collection de Goncourl 23 — COCHIN (CHARLES-NICOLAS) 46. — Portrait de M^ Dessaux, femme du premiermédecin de lHôtel-Dieu de Paris. Elle est représentée les cheveux frisés et hérissés autour 9 de la tête, une large cravate de mousseline blanche au cou, ^ C) la poitrine dans un corsage aux gros boutons et aux reversdun habit dhomme. Dessin à la pierre noire. Signé dans la marge : C. N. Cochin f. delin., ijSS. Le nom de M Dessaux, ainsi que celui de son mari, sur un dessinqui faisait pendant à celui-ci, était écrit, au dos, dune écriture dutemps. A figuré à Texposition de TEcole des beaux-arts, en 1879, sous len° 543. « Ce portrait, du crayon le plus fin et le plus précis, est posé dansune très belle et naturelle attitude, sévère et vraie, comme celle dunLa Tour. » — [Etude sur les dessins des maîtres anciens exposés àlEcole des beaux-arts en 18jg, par le marq


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