. Comptes rendus des séances de la Société de biologie et de ses filiales. Biology. SÃANCE Du' 24 NOVEMBRE ^Tl reprises après avoir laissé à la globuline le temps de déposer. J'ai étudié ainsi mes globulines après vingt à trente lavages et même plus, à l'eau distillée. Or, dans ces conditions, on peut obtenir soit par simple agitation, soit exceptionnellement au moyen d'un mortier, des suspensions de globulines assez durables pour pouvoir être étudiées au moyen du transport électrique. Mes émulsions avaient une conductibilité égale à celle de notre eau distillée (C=6 Ã


. Comptes rendus des séances de la Société de biologie et de ses filiales. Biology. SÃANCE Du' 24 NOVEMBRE ^Tl reprises après avoir laissé à la globuline le temps de déposer. J'ai étudié ainsi mes globulines après vingt à trente lavages et même plus, à l'eau distillée. Or, dans ces conditions, on peut obtenir soit par simple agitation, soit exceptionnellement au moyen d'un mortier, des suspensions de globulines assez durables pour pouvoir être étudiées au moyen du transport électrique. Mes émulsions avaient une conductibilité égale à celle de notre eau distillée (C=6 à ;). Examinés au bout d'une ou plusieurs heures de transport, les liquides baignant les électrodes en platine étaient absolument neutres, ce qui prouve bien l'absence de toute trace appréciable d'électrolyte. Or, dans ces conditions, et le fait a une très grosse importance, on constate toujours un sens déterminé de transport : toutes les globu- lines I, II, III, IV du sérum sont électro-positives et seulement électro- positives. Ce fait, nous l'avions déjà indiqué l'année dernière. Le transport confirme ce qu'avait donné la précipitabilité. Il n'est donc pas douteux que les globulines que nous venons d'étudier ont une charge électrique bien déterminée et que, lorsqu'on a pris les précautions nécessaires pour les débarrasser des électrolytes, cette charge se montre constamment et uniquement électro-positive. Les globulines du sérum ne sont nullement amphotères, ainsi qtie cela a été soutenu par quelques auteurs. Travail du laboratoire de physiologie de la L I 8 R A R Le mécanisme de la reconnaissance chez les fourmis!-^- ^ ^ rôle des données olfactives, vo, par M. H. Piéron. ^^^ ^ V^^ J'ai montré que les observations et les expériences s'accordaient à placer dans l'olfaction le sens exclusif de la reconnaissan


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