. Anatomie et physiologie végétales à l'usage des étudiants en sciences naturelles des universités, des élèves à l'Institut agronomique, des écoles d'agriculture, etc. Plant anatomy; Plant physiology. 1074 MOrSSKS entior ou dculol»'. cl laiilol ovoïdes, coiiiiik^ dans le genre Mnic [Mniiini), où (dles uLleigiienl, jus(|u';i un fenliinètre de longueur, tantôt triangulaires et plus ou moins engainantes à la base (Polylric), ou suhulées (l)icranuni) ; leur sommet est généralenuMit aeuminéj parfois prolongé en poil (Pohiric pilitère, Poltia). La nervure unique (jui parcourt ces feuilles est lisse
. Anatomie et physiologie végétales à l'usage des étudiants en sciences naturelles des universités, des élèves à l'Institut agronomique, des écoles d'agriculture, etc. Plant anatomy; Plant physiology. 1074 MOrSSKS entior ou dculol»'. cl laiilol ovoïdes, coiiiiik^ dans le genre Mnic [Mniiini), où (dles uLleigiienl, jus(|u';i un fenliinètre de longueur, tantôt triangulaires et plus ou moins engainantes à la base (Polylric), ou suhulées (l)icranuni) ; leur sommet est généralenuMit aeuminéj parfois prolongé en poil (Pohiric pilitère, Poltia). La nervure unique (jui parcourt ces feuilles est lisse dans le plus grand nombre de cas ; par exception, elle est relevée en aile dans leFissident, et couverte de petites excroissanci'S en manière de poils dans certaines liarbules (B, ambigui'; B. aloïcle). De part et d'autre de la nervure, le limbe, toujours très mince, se réduit à deux (fig. 1413, C, //), et, plus pivs du bord, à une seule assise de cellules [B), ce qui permet l'examen direct du contenu cellulaire au microscope, et par suite l'observation du mouvement protoplasmique. La divergence des feuilles est très variable : 4- dans le Fissident, -^ dans les Sphaigiies, -|" dans la Funaii'e, etc. Mal protégées contre une transjiiralion tant soit peu active, puisqu'elles n'ont, connue les Hyméno})liyllacées (p. 1030), ni almosplière interne, ni stomates, les feuilles de nombi'euses Mousses ne végètent bien (juà Ibumidité, sous le couvert d'autres plantes ; celles des stations naturellement humides, comme la Mnie {Mniion), se re- plient sur elles-»>^.èmes à la moindre des- siccation, mais s'épanouissent de nouveau iiu contact de l'eau. Il est pourtant des espèces plus résis- tantes, qui ont pu s'adapter aux terrains secs, et qui même sont capables de sup- porter sans périr des périodes prolongées de sécheresse ; elles comptent alors au nombre dos j)/antes réviviscentes (p. 747). La plupart des Mousses sont Fig
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