. Comment j'ai traversé l'Afrique despuis l'Atlantique jusqu'a l'Océan indien a travers des régions inconnues . aient tous leurs soins, ainsi quele chèfé Roza et sa femme; le 28, je pus quitter mon lit etsortir un peu. On convint alors que le départ aurait lieu le1 janvier 1878, cest-à-dire trois jours après. La femme du lieutenant Roza me fit présent de deux cho-ses qui (je ne men doutais guère alors) devaient jouer dansuion voyage un rôle important. Cétait un service à thé enporcelaine de Sèvres et une chèvre de petite espèce, remar-quablement apprivoisée et que jappelai Cora. Un événement v
. Comment j'ai traversé l'Afrique despuis l'Atlantique jusqu'a l'Océan indien a travers des régions inconnues . aient tous leurs soins, ainsi quele chèfé Roza et sa femme; le 28, je pus quitter mon lit etsortir un peu. On convint alors que le départ aurait lieu le1 janvier 1878, cest-à-dire trois jours après. La femme du lieutenant Roza me fit présent de deux cho-ses qui (je ne men doutais guère alors) devaient jouer dansuion voyage un rôle important. Cétait un service à thé enporcelaine de Sèvres et une chèvre de petite espèce, remar-quablement apprivoisée et que jappelai Cora. Un événement vint dans ce temps me faire un vrai pauvre mouton, que je métais donné tant de peine àsauver malgré les murmures de notre troupe famélique,mourut en fuyant un chien courant que javais amené duPortugal et dont javais fait cadeau à Capello. Pour lui échap-per, mon mouton voulut rentrer à travers un trou de la pa-lissade, sy brisa une jambe et sy abîma au point de mourirpeu après. Ce fut la première grande peine que jéprouvaidans ce voyage, qui men gardait bien CHAPITRE IV DANS LA. RÉGION SOUMISE. Nous allons à Ngola. — Le sova Chimbarandongo. — Beaulé du pays.— Arrivée à Caconda. — José dAnchiéta. — Correspondance. — Ar-rivée du chéfé. — En quête de porteurs.— Nous allons au Counéné,Ivens vers le nord et moi vers le sud. — Retour de la demeure deBandeira. — Les porteurs rompent leur engagement. — Mon opinion. i\ous quittâmes Quilenguès In 1 janvier 1878, après avoirfait une bonne provision de vivres et Tacquisition de bœufset de moutons h tuer pendant le voyage. Le chêfé, lieutenantRoza, nous fit la conduite durant sept kilomètres, puis re-tourna chez lui, et nous continuâmes notre chemin dans ladirection du , jusquau pied de la chaîne de Quilenguès,où nous dressâmes notre camp près du village du sécoulouOungouri. Un compagnon de route, nommé Vcrissimo Gonsalvès,sétait jo
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