Messéniennes, et Chants populaires . IV LA SIBYLLE. -^^w^ P0U2£0l« AiiCHONs, le ciel .-t lejour pâlissantNest plus à son midi quun faible cré,.!, le; 172 LA SIBYLLE. Le flot qui vient blanchir les restes du port JuleGrossit, et sur la cendre expire en gé orage éloigné que lEurus nous ramèneCouvre de ses flancs noirs les pointes de Misène ;Avançons, et, foulant dun pied religieuxCes rivages sacrés que célébra Virgile,Et doù Néron chassa la majesté des dieux ,Allons sur lavenir consulter la Sibylle. ce Ces débris ont pour moi dinvincibles appas, »Me répond un ami, quau
Messéniennes, et Chants populaires . IV LA SIBYLLE. -^^w^ P0U2£0l« AiiCHONs, le ciel .-t lejour pâlissantNest plus à son midi quun faible cré,.!, le; 172 LA SIBYLLE. Le flot qui vient blanchir les restes du port JuleGrossit, et sur la cendre expire en gé orage éloigné que lEurus nous ramèneCouvre de ses flancs noirs les pointes de Misène ;Avançons, et, foulant dun pied religieuxCes rivages sacrés que célébra Virgile,Et doù Néron chassa la majesté des dieux ,Allons sur lavenir consulter la Sibylle. ce Ces débris ont pour moi dinvincibles appas, »Me répond un ami, quaux doux travaux dApelle,A Rome, au Vatican son art en vain rappelle ;ce Ils parlent à mes yeux, ils enchaînent mes Ces lentisques flétris dont la feuille frissonne ;ce Ces pampres voltigeans et rougis par lautomne ;ce Tristes comme les fleurs qui couronnaient les morts,« Ces frêles cyclamen, fanés à leur naissance,« Plaisent à ma tristesse, en mêlant sur ces bords« Le deuil de la nature au deuil de la puissance
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