Bulletin de l'Institut français d'archéologie orientale . les aliments dans la bouche. Le q^, au contraire, ne vit ])as àlécurie. Les hommes chargés de lamener doivent organiser une véritablechasse, le cerner, lui jeter le lasso autour du cou. lui entraver les ~^ est donc le bœuf des prairies; 1 |^ le bœuf détable. Les troupeaux debœufs \Ç[ marchent en bon ordre, bien sagement. Un bas-relief représentantun troupeau de q a été reproduit par Lepsius-). On voit les animaux senfuirde tous côtés en mugissant et en dressant la queue. Cette vie en plein airexplique le caractère plus farouch
Bulletin de l'Institut français d'archéologie orientale . les aliments dans la bouche. Le q^, au contraire, ne vit ])as àlécurie. Les hommes chargés de lamener doivent organiser une véritablechasse, le cerner, lui jeter le lasso autour du cou. lui entraver les ~^ est donc le bœuf des prairies; 1 |^ le bœuf détable. Les troupeaux debœufs \Ç[ marchent en bon ordre, bien sagement. Un bas-relief représentantun troupeau de q a été reproduit par Lepsius-). On voit les animaux senfuirde tous côtés en mugissant et en dressant la queue. Cette vie en plein airexplique le caractère plus farouche, les formes plus maigres, plus nerveuses On trouvera ilos exemples (te la mdmo. * Marcaret A. Murrav, Saqqara mnalnhas. mdlatlièsfi (tans les lexlos tlos pyramides : rr ^fff, |i. iî h-ih = ^ ^ T. a/i3: Q %î W. /j.,i Lei>shs. Deuk»,., II. (io. = 0 WN. (jiS. (le cet animal. A côté de lui, le bœuf engraissé des établcs paraît énorme. Unbas-relief du tombeau de Klioutbolep ((ijj. i), (jui rcpréscnlc lun au-dessous. Fig. 1. — Le bœuf | ^ el lo ho-uf q^ >. de 1 autre ces doux animaux, confirme tout à fait co que nous avons dit. Les bas-reliefs où des individus conduisent leurs bêles à laballoir four-nissent une seconde liste des espèces utilisées pour la boucberie. (lelte listecompi-end les bœufs et antilopes déjà connus et quelques espèces nouvelles :le veau (juebjuefois appelé J|p, plus souvent ^\- ne antilope à corneslyriformes p, le cerf Ji. la byène |*^. Nous avons ([uebjuc répugnance àpenser que les Egyptiens ont pu se nouriir de cel borrible animal; la chosetoutefois est certaine. Au tombeau de Merruka-. on peut voir, en cifct. deshyènes à létable. couchées sur le dos. les pattes liées, la l)ouclie hommes y enfoncent des morceaux de viande et de volaille. Or. onna jamais engraissé, je ])ense, que les animaux destinés à la nourriture delhomme. •> G. Davies, The maslaba of Plali-hclep and
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