. Égypte. Fig. 498. — Sphinx dépoque ptoi.émaique.(Musée ail Caire.) (Cliché E. Britgsch.) 264. BAS-RELIEFS SA/TES ET PTOLEMAIQUES Sétoui r^ en Abydos, si la finesse ny étaitaccompagnée d une certaine mièvrerie. Larondeur des modelés et la mollesse des con-tours sont en effet les défauts qui se manifes-tent dans le décor et qui vont sexagérant,à mesure quon approche de la fin. On lesent déjà dans les pièces d essai ou dans lescollections de modèles que chaque atelierpossédait, et que 1 on recueille en telle quan-tité dans les ruines des grandes villes, deTanis à Edfou et à Philae. La figure de


. Égypte. Fig. 498. — Sphinx dépoque ptoi.émaique.(Musée ail Caire.) (Cliché E. Britgsch.) 264. BAS-RELIEFS SA/TES ET PTOLEMAIQUES Sétoui r^ en Abydos, si la finesse ny étaitaccompagnée d une certaine mièvrerie. Larondeur des modelés et la mollesse des con-tours sont en effet les défauts qui se manifes-tent dans le décor et qui vont sexagérant,à mesure quon approche de la fin. On lesent déjà dans les pièces d essai ou dans lescollections de modèles que chaque atelierpossédait, et que 1 on recueille en telle quan-tité dans les ruines des grandes villes, deTanis à Edfou et à Philae. La figure desrois et des reines y est le plus fréquente(fig. 504), et il est naturel, puisque aussibien le Pharaon régnant et les femmes desa famille avaient le privilège immémorial desafficher sur les murs des temples, et quonavait lhabitude de prêter leurs traits auxdieux ou aux déesses avec lesquels ils fraj^aient ;toutefois, les animaux et les formes hybridesmoitié homme, moitié béte, de la divinité, yabondent aussi, et il fallait quil en fût ainsi, puisque les sculpteur


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