L'histoire naturelle éclaircie dans deux de ses parties principales, la lithologie et la conchyliologie : dont l'une traite des pierres et l'autre des coquillages : ouvrage dans lequel on trouve une nouvelle méthode & une notice critique des principaux auteurs qui ont écrit sur ces matiéres : enrichi de figures dessinées d'après nature . ; par lemoyen dune jambe quil alonge ^ quil retire par le bouc denbas, il senfonce à deux pieds de fond 6c seléve tout droit dansle fiible, ceft tout le mouvement quon lui remarque. Pour leprendre, on jette du fel dans le trou quil a formé, ce qui lelait forti
L'histoire naturelle éclaircie dans deux de ses parties principales, la lithologie et la conchyliologie : dont l'une traite des pierres et l'autre des coquillages : ouvrage dans lequel on trouve une nouvelle méthode & une notice critique des principaux auteurs qui ont écrit sur ces matiéres : enrichi de figures dessinées d'après nature . ; par lemoyen dune jambe quil alonge ^ quil retire par le bouc denbas, il senfonce à deux pieds de fond 6c seléve tout droit dansle fiible, ceft tout le mouvement quon lui remarque. Pour leprendre, on jette du fel dans le trou quil a formé, ce qui lelait fortir, &: enfuite on le tire avec un fer pointu, Rumphîus XLI, Planche La Conchyliologie, IL Partie; 541 Rumphius (a) décrie un Manche de couteau dune feulepîéce quil apelle Soien Arenarius, ceft un long tuyau à plu-fleurs reprifes ou nœuds, & les autres figures quil en donnefont des monftres qui nont aucun genre déterminé. ( ^ ) Un Ancien prétend que ces Coquillages, par leur fuc glu-tineux , reluifent dans les ténèbres, fur la terre, fur les habits, ^^^ gefur la main , & même dans la bouche de ceux qui les mangent. nebrs Lifter apelle, Solen Curvus, celui qui eftun peu courbé dans i oie man-fa longueur, dautres lont nommé Injlar Enjîs Hungarid fal- ^-i i/-çatus. (b) ITngue;élut ignélucent m ce-ctiam. Seconde Tartie. Xx 34* La Conchyliologie, II. Partie. EXPLICATION DE LA VINGT-SEPTIEME PLANCHE. Cette planche comprend U cinquième famille des Peignes,(^ la Jixicme famille des Manches de Couteau. ON voit un petit Peigne à la lettre A , qui n*a dautremérite que dêtre chantourné dans fon contour, & denavoir aucune oreille, la couleur de Tes ftries tire fur le blanc& le rouge. Voici un des plus beaux Peignes à la lettre B , Tes coquillesextrêmement épailîès & dun beau blanc en dedans, Tes cane-lures bariolées de brun , de jaune , êc de bleu le dillinguencinfiniment des autres. Il na point doreilles. Le fliivant à la lettre C , eft fauve 8c a deux
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