. Bulletin de la Société entomologique de France. Entomology. Séance du Ti mun 1914. 173. sinus latéraux et un sinus antérieur médian, ce qui lui donne un peu l'aspect d'un»' demi-rosace à huit feuilles (a' tig. 1) ; chez un certain nombre d'exemplaires, les quatre arcs de cercle de cette strie sont séparés (H. (ig. 1). Chez //. cadaverinus, la strie frontale est simple, semi-circulaire ou semi-elliptique (a', fig. 1); très souvent, elle est interrompue en avant au milieu (b' fig, 1). 2' Stries élytrales. â Chez les deux espèces, les quatre premières stries élytrales sont en- tiÃ
. Bulletin de la Société entomologique de France. Entomology. Séance du Ti mun 1914. 173. sinus latéraux et un sinus antérieur médian, ce qui lui donne un peu l'aspect d'un»' demi-rosace à huit feuilles (a' tig. 1) ; chez un certain nombre d'exemplaires, les quatre arcs de cercle de cette strie sont séparés (H. (ig. 1). Chez //. cadaverinus, la strie frontale est simple, semi-circulaire ou semi-elliptique (a', fig. 1); très souvent, elle est interrompue en avant au milieu (b' fig, 1). 2' Stries élytrales. â Chez les deux espèces, les quatre premières stries élytrales sont en- tières. Chez H. cadaveri- ints, la cinquième strie est toujours marquée à la base de l'élytre, soit par un point net, en- foncé (a, fig. 2), soit par deux ou trois points en arc de cercle, soit le plus souvent par une petite strie s'incurvant vers la suture (b, fig. 2) ; ce caractère ne manque jamais. Chez H. striola, il n'existe aucun rudiment basai de cinquième strie; par contre, on remarque toujours chez cette espèce une dépression assez profonde à la base de la troi- sième strie (c, fig. 2). caractère toujours absent chez cadaverinus. 3° Chez les deux espèces, il arrive souvent que les deux stries laté- rales du pronotum sont d'inégale longueur : l'une s'approche plus de la base que l'autre ; or, chez //. cadaverinus, c'est toujours l'interne qui est écartée, tandis que, chez H. striola, c'est l'externe. En ajoutant ces quelques caractères à la différence de ponctuation du propygldium et à la forme différente de la mentonnière, point n'est besoin, je l'espère, pour distinguer les deux espèces, de s'attarder sur le mode de suture des articles de la massue antennaire. qui est quel- quefois bien difficile à apercevoir. Fig. 2. â a, b, strie,'! élytrales chez Hisler ca- daverinus; â c, stries élytrales chez Hister Please note that these images are extracted fro
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