. Bulletin de la Société philomathique de Paris. Société philomathique de Paris; Science. 72 , BOUVIER moins excessivement rare qu'on observe les rudiments d'une saillie sus-orbitaire (? Prosopon speciosum Meyerj et l'on n'en trouve pas davantage de trace chez les Cyphonotiis, les Diaulax et les Dromilrtes, qui sont déjà des fossiles crétacés et éocènes. Ces saillies manquent le plus souvent dans les Dromiopsis, nmis se rencontrent déjà , quoique peu saillantes, chez la plupart des Dromies éocènes [D. Bowerhanki Bell. (fig. 38), D. BucMandi H. Milne Edwards) (). En somme


. Bulletin de la Société philomathique de Paris. Société philomathique de Paris; Science. 72 , BOUVIER moins excessivement rare qu'on observe les rudiments d'une saillie sus-orbitaire (? Prosopon speciosum Meyerj et l'on n'en trouve pas davantage de trace chez les Cyphonotiis, les Diaulax et les Dromilrtes, qui sont déjà des fossiles crétacés et éocènes. Ces saillies manquent le plus souvent dans les Dromiopsis, nmis se rencontrent déjà , quoique peu saillantes, chez la plupart des Dromies éocènes [D. Bowerhanki Bell. (fig. 38), D. BucMandi H. Milne Edwards) (). En somme on peut dire qu'elles existaient chez la plupart des représentants fossiles de la tribu des Homoliens, tandis qu'elles ne se sont guère dévoloppées avant l'éocène chez les Dromiens et qu'elles font défaut, sauf quelques exceptions [Dromiopsis minuta Reuss), chez tous les représentants de la tribu des Dynoméniens. 4° Sillons de la carapace. â Examinons les Prosoponidés où se }. Fig. 29. â Prosopon ornatum Mey. (d'après H. von Meyei-). présentent, avec leur plus grande complexité, les ornements en creux de la carapace, et choisissons, par exemple, le Prosopon ornatum Meyer (fig. 29). Sur la face dorsale de cette espèce se voient deux aires parfaitement limitées, l'aire gastrique (G), qui se dilate progressivement en arrière, et l'aire cardiaque {H), qui est divisée en deux lobes par une dépression transversale, et qui se dilate au contraire en avant ; un sillon médian longitudinal (/) rattache Taire gastrique au fond de l'échancrure rostrale; un sillon transversal, beaucoup plus accentué, la limite en arrière, et se prolonge (e^) à droite et à gauche jusque sur les flancs, à la surface desquels il se continue ; sur les côtés de l'aire cardiaque aboutit un autre sillon (c) parallèle au précédent et qui se continue comme lui sur les faces latérales de la carapace


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