. Deuxième expédition antarctique francaise (1908-1910). Natural history -- Antarctica; Scientific expeditions -- Antarctica; Antarctica. .PTÃROBRANCHES. 8i les lignes de suture sont plus ou moins distantes les unes des autres et plus ou moins régulières, mais elles ne se coupent jamais, ce qui indique que l'animal sécrète un anneau complet sur la partie déjà construite du tube. Dans la partie supérieure de ce dernier, les lij^Mies de suture s'entre- coupent de façon assez irrégulière (fig. 6), ce qui montre que l'animal ne travaille plus là d'une façon continue sur tout le pourtou
. Deuxième expédition antarctique francaise (1908-1910). Natural history -- Antarctica; Scientific expeditions -- Antarctica; Antarctica. .PTÃROBRANCHES. 8i les lignes de suture sont plus ou moins distantes les unes des autres et plus ou moins régulières, mais elles ne se coupent jamais, ce qui indique que l'animal sécrète un anneau complet sur la partie déjà construite du tube. Dans la partie supérieure de ce dernier, les lij^Mies de suture s'entre- coupent de façon assez irrégulière (fig. 6), ce qui montre que l'animal ne travaille plus là d'une façon continue sur tout le pourtour ; il n'ajoute un. Fil S. /g.é. Fp. F,p. Fig. D. â Partie piolondu du tube ; les lignes de suture qui ne se coupent pas montrent que, dans cette région, l'accroissement du tulje se fait par anneaux complets. âFig. 6 : Partie terminale du tube; les lignes de suture indiquent l'accroissement irrcgulier du tube dans cette région. â Fig. 7 : Section longitudinale de la paroi du tube, dans la partie terminale libre de ce dernier. â Fig. 8 ; CEuf détaché de l'animal qui l'a produit, libre dans la cavité du tube au voisinage des bourgeons. â Fig. 'J : Portion grossie d'un tube avec l'individu, visible par transparence, qui l'a construit. Au-dessous du corps de l'animal, on voit un cordon, le stolon, avec les bourgeons groupés à son extrémité: l'un des bourgeons, à gauche, est détaché de la masse l'orniée par les autres. nouveau dépôt de sécrétion que sur un arc plus ou moins étendu. Il est à noter que, dans cette partie du tube, l'épaisseur de la paroi est beaucoup plus considérable que dans la partie initiale. En admettantque la sécrétion demeure aussi abondante, la môme quantité de matière sécrétée ne peut fournir la même étendue deparoi. Si l'on cxaiiiiiic la section longitudinale de la paroi du tube (fig. 7), on remar(|ue que les dépôts successifs
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